yunomi

C’est peut-être le mystère du titre - yunomi - ou la photographie de ce dos en couverture qui a attiré mon regard au rayon Photographie de la librairie Payot de Lausanne. Je sais les risques que je prends en m’y rendant, coupable d’avance, face à ces tentations auxquelles je me sais si faible… mais il est des jours où la résistance est vaine, ou la faiblesse est trop grande, ceux-là même où l’on franchit avec une gourmandise coupable les portes des meilleures pâtisseries…

La couverture de yunomi vol. 1

Ce livre, qui se décrit comme un magazine… de près de 200 pages quand même, est superbement imprimé par Escourbiac sur un papier épais et mat d’une grande qualité. La photographie de couverture est signée de Christian Coigny, que mon inconscient a dû reconnaître et auquel est consacré un long article-portfolio au cœur de l’ouvrage (pp60 à 105). Quel bonheur de retrouver ses sublimes images intemporelles, ses mises en scène uniques, son regard si particulier sur le corps…

© Christian Coigny

© Christian Coigny

© Christian Coigny

© Christian Coigny

De quoi j’espère vous donner envie d’aller voir ou revoir le site de Christian Coigny, de le suivre sur Facebook, et de vous procurer son dernier livre paru chez Ides et Calendes.

Le magazine Yunomi qui prévoit deux éditions par an, propose d’autres très belles découvertes comme celle de l’artiste Lucy Augé, de l’architecte Alireza Razavi, ou dessigner Aad Bos.

 Le reste est à découvrir dans ce livre-magazine et sur son site web


Anna Försterling

C’est en errant sur STRKNG que je suis tombé sur ses photographies. Comment expliquer qu’un portfolio nous touche ? S’il n’est pas rare qu’une image nous parle, parfois c’est un ensemble, une ambiance, une atmosphère, une sensibilité qui nous émeut.

© Anna Försterling

© Anna Försterling

© Anna Försterling

© Anna Försterling

© Anna Försterling


De ce portfolio, je suis allé voir le site de l’artiste allemande Anna Försterling. Une très belle découverte. Des portraits et des nus d’une rare délicatesse.

La générosité aussi de proposer quelques petits tirages très raisonnables. J’ai choisi l’image intitulée ”softness”. Elle est arrivée en quelques jours, emballée avec grand soin.


Softness - © Anna Försterling


Test des mini-WhiteWall

Il y a quelques mois j’avais craqué pour l’image ”I Thought We Were Special” de Formento+Formento chez YellowKorner, dans le format dit Icone, soit 19.5x13 cm sur “Support aluminium avec verre acrylique” (je cite le site web). Un format accessible et idéal pour l’achat impulsif (moins de 50€). J’aime beaucoup cette image étrange qui a depuis trouvé sa place sur mon bureau.

En visitant le site de WhiteWall, je découvre leur format ”Mini WhiteWall” qui propose une solution de tirage photo avec un tirage photo sous verre acrylique. L’image est tirée sur un papier Fuji Crystal DP II, scellée à la silicone sous verre acrylique de 2 mm d’épaisseur et renforcées avec un panneau arrière opaque en alu Dibond de 3 mm d’épaisseur.

Les formats disponibles sont 13 x 18 cm vertical, 18 x 13 horizontal ou 13 x 13 cm carré, et franchement le rendu est top. Les images sont livrées dans un emballage d’une exceptionnelle qualité (carton, enveloppe à bulle résistante, blister, carton multicouche)… bon je reconnais le tout n’est pas très écolo… mais ce n’est de tout façon pas la qualité première d’un tirage de ce type…

Un crochet est collé au dos du Dibond pour un accrochage immédiat. Un petit support en plexiglass est joint pour simplement poser l’image sur un meuble ou autre.

Le tout est proposé à un tarif qui me semble raisonnable, de 16 à 18.- CHF (apparemment le même genre de tarif en euros).

WhiteWall propose d’autres formats de tirage de “Cadre de bureau verre acrylique” avec la possibilité de choisir l’épaisseur de la couche de verre acrylique (entre 2 mm et 6 mm).

Pour autant que je puisse en juger, un résultat très qualitatif permettant de transformer des images en petits objets faciles à accrocher…


Les Confidences de LiLiROZE

Une visite à la Librairie de la Louve à Lausanne, un bouquiniste du centre ville, qui propose un large choix de livres d’occasion. Aujourd’hui, ce sont les Confidences de LiLiROZE, éditées en 2012 par HC éditions (et apparemment encore disponible en neuf). La couverture m’a fait penser à certaines images de Sarah Moon ou de Paolo Roversi.

Le livre est magnifique. Plus de 200 pages et plusieurs séries d’images, des Polaroids notamment, dont la sensibilité est très émouvante. Une très belle découverte donc, de cette photographe dont je tenterai de suivre le travail…

Son site https://www.liliroze.com et @lilirozeofficiel





Les poèmes visuels de Mr Chill

Son regard de poète égrène des centaines d’images comme autant d’hommages à la femme contemporaine.

Je crois me souvenir que j’ai découvert son travail à travers Tumblr, lequel m’a ensuite permis de visiter son site et l’impressionnant mur d’images qu’il propose.

Les mots me manquent pour décrire le travail photographique de Monsieur Chill…

Fragments d’intimité,
Haïkus sensuels,
Cadrages délicats,
Magie des lumières,
Érotique du quotidien,
Vérité des corps,
Détail des peaux,
Gaieté des sourires,
Naïve impudeur,
Infini respect,
Naturel des poses, …

Les mots me manquent… mais le titre de son Tumblr en dit long : ”Nude not naked”.

Bref, Monsieur Chill annonce de temps en temps des petites ventes flash via Facebook… lesquelles m’ont permis d’acquérir quelques petits tirages très raisonnables.

Les images acquises en juin…

© Chill Photographie

© Chill Photographie

© Chill Photographie

© Chill Photographie

Et les images acquises en novembre dernier…

© Chill Photographie

© Chill Photographie

© Chill Photographie

A chaque fois, le choix est cruellement difficile…

Restez à l’affût sur sa page Facebook… peut-être que d’autres ventes impromptues y seront annoncées…

Et entre temps, vous pourrez suivre l’actualité du travail unique de ce grand regard.

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